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information fournie par Boursorama avec LabSense•06/07/2020 à 13:00
Et si placer votre argent, ne servait pas seulement à le faire fructifier ; mais aussi à financer des projets vertueux ? C’est le choix que font de plus en plus d’épargnants. Zoom sur l’épargne solidaire ; ce mode de placement « responsable » qui gagne du terrain…
iStock-matejmo
L’épargne solidaire, de quoi parle-t-on exactement ?
Différents sites internet nous apprennent qu’épargner signifie : « se constituer un capital à moyen ou long terme, faire fructifier l’argent placé ». L’arrivée, depuis quelques années du concept « d’épargne solidaire » va obliger à revoir un peu cette définition. Car avec ce nouveau mode de placement, la question que se posent les épargnants n’est plus seulement « combien rapporte mon argent » ? mais aussi « à quoi sert mon argent ? ». Il commencerait donc à être révolu, le temps ou le bas de laine était confié à un établissement financier sur de simples critères de rentabilité, sans jamais se préoccuper du circuit qu’il allait suivre. Si la recherche de rentabilité – il ne faut pas se mentir – est toujours présente, elle se double, avec l’épargne solidaire, d’un critère d’utilité : l’épargnant veut savoir quels vont être les projets qu’il va contribuer à financer, et s’assurer de la dimension éthique de ses placements. Les projets proposés sont ainsi souvent, à forte utilité sociale ou environnementale : soutien à des associations caritatives, préservation d’écosystèmes, réinsertion de personnes en difficultés etc. Si un établissement bancaire traditionnel : le Crédit Coopératif, a été précurseur en la matière, ce sont surtout des structures spécialisées qui proposent ces types de placements. Les « produits bancaires » eux, restent classiques : LDD (ancien CODEVI), ou comptes à terme, par exemple, mais ils servent à soutenir des projets coopératifs ou de petites tailles. Certains placements sont aussi reformatés, à l’instar de « comptes d’épargne solidaires » ou de produits « d’assurance-vie solidaire ». Quant à la rentabilité du placement, elle peut être moindre que dans les placements « traditionnels ». Les gains générés peuvent aussi être partiellement reversés à des organismes ou associations prédéfinis.
Des aspirations ; mais aussi des incitations…
Ces propositions d’épargner à destination de l’économie solidaire répondent à une aspiration forte des Français. L’Observatoire La Croix/ Finansol nous apprend ainsi, à travers une étude menée en 2019, que l’épargne solidaire a enregistré une progression de 24% par rapport à 2018, alors que 810 000 nouvelles souscriptions de placements solidaires étaient enregistrées dans l’année. Aujourd’hui, l’épargne solidaire, d’après cette même étude, représente 0,29% du patrimoine financier des Français, ce qui correspond à plus de 15,5 milliards d’euros Cette même association FINANSOL, attribue depuis 1997, un label qui distingue les produits financiers dits « solidaires » selon des critères de transparence et de solidarité. Au-delà de ces velléités des Français à « placer utile », des incitations sont aussi mises en place par les pouvoirs publics via, par exemple la Loi Pacte. Cette volonté de réorienter les placements à destination de « fonds verts et socialement responsables » a également été relayée par le Conseil économique, social et environnemental. Ce dernier a en effet adopté en janvier 2019 un avis appelé "Demain la finance durable". Son objectif ? Proposer de doper le financement de la transition écologique en diminuant la fiscalisation de ces produits spécifiques d’épargne.
Le présent article est rédigé par Labsense pour Boursorama. Cet article ne doit en aucun cas s'apparenter à un conseil en investissement ou une recommandation d'acheter, de vendre ou de continuer à détenir un investissement ou un placement. Boursorama ne saurait être tenu responsable d'une décision d'investissement ou de désinvestissement sur la base de cet article.
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